En 2021, la qualité de vie dans la plupart des régions russes a augmenté. Quelles sont les régions avec la meilleure qualité de vie ?
1 Moscou 2 Saint-Pétersbourg 3 Région de Moscou 4 République du Tatarstan 5 Territoire de Krasnodar 6 Région de Belgorod 7 Région de Leningrad (Saint-Pétersbourg ) 8 District autonome de Khanty-Mansisk 9 Région de Samara 10 Région de Nijni Novgorod 11 Région de Kaliningrad … En queue de classement 76 République d’Ossétie du Nord / Alanie 77 Région de Kourgane 78 République de Bouriatie 79 République de Kalmoukie 80 République de l’Altaï 81 Kraï de Transbakalie 82 République d’Ingouchie 83 Région autonome juive du Birobidjan 84 République de Karatchaïévo-Tcherkessie 85 République de Touva
Les régions avec le meilleur niveau de vie sont celles de la première Russie, celles avec le moins bon niveau de vie sont celles de la quatrième Russie.
Rosstat a nommé les villes les plus chères et les moins chères pour vivre.
La ville la plus « chère » de Russie serait Anadyr en Tchoukotka ou un ensemble de 264 types de biens et services de consommation coûte 57 % de plus que la valeur russe moyenne soit un indicateur de 1,57%..
Juste derrière, on trouve le Kamtchatka et de la Yakoutie ou les prix sont 1,5 fois plus élevés que la moyenne nationale. Ce n’est pas une surprise les régions reculées de l’Extrême-Orient sont traditionnellement parmi les plus chères à vivre.
A titre de comparaison, l’indice de Moscou est de 1,28, a Saint-Pétersbourg il est de 1,12 tandis que la valeur pour l’ensemble de la Russie est de 1.
A l’inverse les zones la « moins chère » est Nazran (indice du coût de la vie de 0,75, ce qui signifie que les biens et services y sont 25 % moins chers que la moyenne nationale). Les biens et services les moins chers hormis l’Ingouchie se trouvent en Tchouvachie, Mordovie et dans la région de Saratov.
Rosstat a commencé à calculer l’indice du coût de la vie en 2011. Cet indicateur, contrairement à l’indice des prix à la consommation, permet de déterminer le niveau des villes russes en termes par rapport à la Russie dans son ensemble.
Cependant, en règle générale, dans les villes les plus « chères », les salaires sont également parmi les plus élevés. Ainsi, en octobre 2021, le salaire mensuel moyen en Tchoukotka était de 123 000 roubles, soit 2,2 fois plus que la moyenne en Russie. En Yakoutie, les salaires sont eux supérieurs de 44 % à la moyenne russe. Mais à Moscou, le revenu monétaire moyen d’un résident au troisième trimestre 2021.
Le facétieux président Tchétchène Ramzan Kadyrov a récemment publiquement justifié la présence de la république de Tchétchènie dans la fédération de Russie en expliquant que : “J’ai aussi pensé que nous avions besoin d’une Ichkérie séparée. Mais je jure qu’on ne pourra pas vivre trois mois. Nous n’avons ni gaz, ni pétrole, ni électricité sur le territoire tchétchène (…) la Russie dépense 300 milliards de roubles (3,5 milliards d’euros NDLA) par an pour maintenir. Sans la Russie, nous ne survivrons pas “.
Officiellement pourtant les aides du pouvoir central a la Tchetchenie se montaient à 26.4 milliards de dollars avant 2020 et ont en 2020 été augmentées à 120,6 milliards de roubles, la république ayant, comme une majorité de régions qui ont énormément souffert durant la crise de 2020 et ont du être soutenues financièrement par le pouvoir central.
Quelles sont les régions, les plus dépendantes du pouvoir central ?
Le système russe de relations interbudgétaires est complexe.
En le simplifiant et en prenant en compte par exemple combien d’argent en valeur réelle les budgets des régions et leurs fonds territoriaux d’assurance maladie obligatoire reçoivent du budget fédéral et du Fonds fédéral d’assurance maladie obligatoire, alors le classement est le suivant :
1/ Moscou 2/ Oblast de Moscou 3/ La Crimée 4/ Le Daguestan 5/ Le Kraï de Krasnodar 6/ Saint Petersbourg 7/ Le Bachokorstan 8/ La Iakoutie 9/ Le Tatarstan 10/ L’Oblast de Sverdlovsk 11/ La Tchechenie 12/ L’Oblast de Rostov 13/ L’Oblast de Tcheliabink 14/ Le Kraï de Krasnoiarsk 15/ L’Oblast d’Irkoutsk
Par habitants par sujet les classement est le suivant : – La Tchoukotka – Le Kamtchatka – La Nénétsie – L’Oblast de Magadan – La Tiva – La Iakoutie – L’Altai – La Birobidjan – Sebastopol – La Crimée – Kaliningrad – La Tchetchenie – La Bouriatie – La Carelie
Vladimir Poutine a signé un décret selon lequel les territoires de la Carélie, la république des Komis, la Bouriatie et l’Okrug autonome des Komi-Permyak ne sont plus inclus dans les régions de l’Extrême-Nord.
Ce document, publié sur le portail d’information juridique, annule le décret de Boris Eltsine en date du 20 décembre 1993 n° 2226 “sur l’attribution de certains territoires de la République de Carélie aux régions de l’Extrême-Nord et zones équivalentes” et permet une mise à jour législative et juridique de ces territoires en vue de l’entrée en vigueur à partir du 1er janvier 2022, du décret présidentiel n° 651 « Modifiant la stratégie de développement de la zone arctique de la Fédération de Russie et garantissant la sécurité nationale jusqu’en 2035 »
Un blogueur russe, Dimitry Kobak, a publié une carte intéressante qui montre depuis le début de la pandémie en Russie la mortalité officielle, du Covid et la surmortalité par régions, ce qui permet de voir les régions les plus honnêtes et les moins honnêtes.
Comme on peut le voir sont en tête Saint Petersbourg, Moscou, Nijni Novgorod, Perm, Voronej et le Kraï de l’Altaï. Les régions les moins fiables sont la Volga (Bachokorstan / Tatarstan).
Deux cartes intéressantes concernant les répartitions et densités de population
La première ci-dessous coupe la Russie en 4 parties égales en terme de population. Comme on peut le voir : – Tout l’Oural, la Sibérie et l’extrême orient sont en mauve – Le Nord Est et la Volga sont en orange – Le Sud est en bleu – Le centre est en vert
La carte ci-dessous indique les territoires qui, en bleu, comprennent autant de population que la ville de Moscou.
Enfin la carte ci-dessous montre les répartitions de population en Russie.
Il n’existe pas en Russie de statistiques claires sur la structuration du vote en fonction de critères sociologiques tels que / statut professionnel / niveau de classe d’age / niveau de revenus / niveau d’éducation / sexe etc.
J’ai deja sur ce blog écrit sur la situation des deux capitales, au sein desquelles le vote anti-pouvoir se manifeste par un vote totalement alternant entre communistes ou libéraux-nationaux.
Une des lignes de scission etait celle du vote pour le Parti communiste.
En 1999, une réelle ceinture rouge (vote pour le parti communiste) existait, prédominante au sein de la 4-ième Russie (les républiques ethniques du Caucase et de Sibérie), ainsi que la 3-ième Russie, soit la Russie agraire de l’ouest et une grande partie de la 2-ième Russie, celle des zones industrielles de l’Oural.
Comme on peut le voir en comparant avec la carte ci-dessous, la ceinture rouge se superpose sur la zone de densité de population de la Russie.
En 22 ans, entre 1999 et 2021 le vote communiste d’antan s’est effondré.
La carte ci-dessous montre l’évolution du vote communiste entre 1999 et 2021, plus c’est rouge, plus la baisse est forte ; comme on peut le voir, le Caucase et les régions agricoles notamment les terres noires, ont été “récupérées” par le Kremlin et le pouvoir central.
Dès 2008 le vote Communiste s’est déplacé vers des zones développées mais plus à l’est comme le territoire de Krasnoïarsk, les régions de Nijni Novgorod, de Samara ou Tcheliabinsk.
En 2016, un rapport analytique sur la nouvelle ceinture rouge identifie les zones ou le ressenti anti-pouvoir central est le plus fort, et cite notamment Moscou et Saint-Pétersbourg (notamment les quartiers riches de ces villes), mais aussi les zones très à l’est comme Irkoutsk, Novossibirsk, Omsk, Khabarovsk et Irkoutsk et toujours l’Oural du sud avec Tcheliabinsk et Sverdlovsk. C’est d’ailleurs en partie dans ces villes que ne s’est déplacé la contestation pro-Navalny ; hormis Novossibirsk c’est la 2-ieme Russie.
En 2021, le vote communiste a été atomisé et repousse à l’Est, effet politique, et démographique également.
La commission électorale de Russie affirme qu’il n’existe plus d’homogénéité des comportements électoraux de l’électeur moyen post-soviétique et que l’hétérogénéité de la multitude d’électeurs dépasse même les cadres différentiants villes / campagnes.
Pourtant, les dernières élections ont montré quelque chose d’intéressant, qui ramène à la conception du centre et des distances avec ce centre.
La commission électorale a analysé les résultats des circonscriptions suivantes : Barnaul, Arkhangelsk, Astrakhan, Belgorod, Ulan-Ude, Vladimir, Volzhsky, Vologda, Cherepovets, Voronezh, Chita, Ivanovo, Irkutsk, Kaliningrad, Kaluga, Kirov, Krasnodar, Krasnoïarsk, Kourgan, Koursk, Lipetsk, Mourmansk, Nizhny Novgorod, Novosibirsk, Omsk, Orenburg, Orel, Penza, Perm, Vladivostok, Rostov-on-Don, Riazan, Samara, Tolyatti, Saratov, Iekaterinbourg, Nizhh Smolensk, Tver, Tomsk, Toula, Ijevsk, Oulianovsk, Khabarovsk, Surgut, Magnitogorsk, Chelyabinsk, Cheboksary, Yaroslavl soit 62.119.821 électeurs et 53 % de tous les électeurs en Russie.
Les bureaux de vote dans ces zones sont situés dans un rayon pouvant aller jusqu’à 400 km des centres de ces villes.
Les points rouges indiquent les bureaux de vote situés à une distance de 0 à 6 km des centres des grandes villes. Les points oranges – à une distance de 6 à 35 km. Les points verts – à une distance de 35 à 94 km. Les points bleus – à une distance de 94 à 233 km. Les points Violet > 233 km à 400 km.
Que nous montre la carte ci-dessous ? Les points verts sont le nombre d’électeurs qui se sont rendus dans les bureaux de vote et ont voté. Il est à noter que le nombre d’électeurs augmente avec l’éloignement des centres-villes et atteint un pic à environ 150 km ce qui signifie que la participation à une distance de 150 km est environ 20 % plus élevée que dans les centres-villes.
Les points bleus indiquent le nombre de ceux qui ont voté pour le parti Russie unie. Le graphique montre une augmentation notable des résultats avec l’éloignement des centres-villes et notamment jusque 150 km. Les points rouges indiquent le nombre de ceux qui ont voté pour le Parti communiste et à cette échelle, cela ne montre pas une dépendance significative des résultats du vote sur la distance.
Dans l’image ci-dessous, la distance aux centres est limitée à six kilomètres.
Dans l’image ci-dessous, la distance centres est limitée à 35 kilomètres.
f Dans l’image ci-dessous, la distance centres est limitée à 90 kilomètres.
Bien sur, on trouvera toujours des arguments pour dire que le pouvoir central truque les élections des centres villes par le vote électronique, et facilement les périphéries des 2de et 3ieme Russie plus dépolitisées, et aussi par manque de capacité de contrôle par l’opposition.
Pour autant la hausse sensible des votes pour Russie Unie qui va avec l’éloignement des centres villes fait écho dans un sens a la situation sur Moscou ou le centre vote contre le pouvoir central tandis que les banlieues, et surtout les plus populaires, votent pour le pouvoir central ou son axe nationaliste.
Cette Russie des périphéries des périphéries est clairement plus dépolitisée, et plus dépendante, plus sensible aux secousses économiques et donc au besoin de stabilité. Une Russie qui vote pouvoir central par pragmatisme et logistique, et non par idéologie.
La Russie est 1 état fédéral de 85 sujets de différentes tailles, structures et composition, mais on peut distinguer au sein de ces 85 sujets 4 grands groupes principaux, 4 Russies, selon la théorie de la géographe Natalia Zubarevich.
La première Russie est celle du cœur de l’économie post-industrielle de la Russie, basée dans des villes telles que Moscou, Saint-Pétersbourg et Ekaterinbourg. C’est une Russie de 15 villes de plus d’un million d’habitants qui comprend 25% de la population et 35% de la population si on y intègre les villes de > 500 000 habitants elle englobe 35% de la population. Au sein de cette première Russie Moscou et sa région pèsent pour 22% du PIB et Moscou, sa région et Saint Peterbourg comptent pour 15% de la population. Cette première Russie comprend 2 villes capitales et est le centre politique de la Russie. Dans ces deux villes la population de > 65 ans est de 25% ce qui est la moyenne russe. C’est une Russie donc plus riche, connectée, moderne et dans laquelle la contestation politique est la plus importante, notamment chez les Moscobourgeois et les Peterbourgeois.
La seconde Russie est la Russie de villes industrielles de 25 000 à 250 000 habitants mais aussi de villes plus grandes telles que Cherepovets, Nijni Tagil, Magnitogorsk, Naberezhnye Chelny, Surgut qui ont des populations de 300 000 à 600 000 habitants, voir Togliatti qui a un peu plus de 700 000. Ces villes industrielles ont un peu plus conservé une philosophie et un mode de vie soviétiques forts. Ces villes comptent un grand nombre de cols bleus et d’employés du secteur public, et certaines villes sont mono-industrielles. Entre 25% et 30% de la population russe vit dans cette « seconde Russie » et cette seconde Russie est moins contestataire politiquement et plus favorable au pouvoir.
Pour information la Russie comprend 1.115 villes. – 15 villes de > 1 million d’habitants. – 158 villes de 100.000 habitants à 1 million d’habitants. – 942 villes de < 100.000 habitants.
La troisième Russie est le vaste territoire périphérique des villages, des villages semi-urbains et des toutes petites villes qui abritent 35% de la population russe. Cette troisième Russie vit de la terre et est assez indifférente à la politique car le calendrier agricole n’est pas, ou est peu affecté par les changements au sommet. Cette troisième Russie est une Russie de petites villes dépeuplées et de villages semi-urbains avec une population âgée, une Russie qui est dispersés à travers le pays. Cette Russie est plus âgée, dans certaines petites villes les retraités constituent 35% de la population.
La quatrième Russie est celle des républiques moins développées du Caucase du Nord et, dans une moindre mesure, au sud de la Sibérie (les régions de Tyva et de l’Altaï) qui abritent moins de 6 % de la population totale du pays. Ces républiques ont des cités et des villes, mais aucune d’elles n’a d’industrie réelle. La Quatrième Russie est la plus corrompue, avec des combats acharnés entre les clans pour le pouvoir et les ressources et de nombreux conflits ethniques et religieux. Cette « quatrième Russie » est encore jeune et ce sont notamment les régions dans lesquelles il y a le moins de russes. La Quatrième Russie ne se séparera pas pour l’instant car elle est subventionnée par la première Russie et le centre politique.
Cette théorie de Natalia Zubarevich a 10 ans maintenant et bien sur les choses évoluent, mais globalement elle reste, en 2021 assez juste.
RIA NOVOSTI a publié des données sur les régions russes.
Tout d’abord les régions les plus riches et les plus pauvres.
Pour établir ce classement, les analystes ont pris en considération divers critères économiques, à savoir le rapport entre le revenu médian des ménages et le coût d’un ensemble fixe de biens de consommation et de services, le montant mensuel moyen par habitant des dépôts et autres fonds collectés par les particuliers au sein des banques, la proportion de la population dont le revenu est inférieur au minimum vital et la proportion de familles pouvant acheter un appartement avec un prêt hypothécaire. Les régions les plus riches sont les sujets administratifs riches via l’énergie mais aussi hors centres énergétiques que sont Moscou, Saint-Pétersbourg, Mourmansk et la région de Moscou.
Sans surprise pour les lecteurs de ce blog, les zones les plus pauvres sont les zones de la 4ieme Russie, le Caucase du nord et la Sibérie du sud.
Pour autant, quel est le volume des migrations intérieures en Russie (en million d’habitants) ? Le migrant intérieur moyen est âgé de 30 à 34 ans mais en 2020 sur 3,5 millions de migrants intérieurs on compte 2,4 millions de personnes en âge de travailler, 0,7 million plus jeunes que l’âge de travailler et 0,3 million plus âgés de 54 ans dont 34 hommes et 79 femmes de plus de 100 ans.
En 2020, quelles sont les régions qui ont connu le principal afflux migratoire intérieur.
Sébastopol
L’Oblast de Leningrad
Kaliningrad
L’Adyguee
L’oblast de Moscou
L’Oblast de Krasnodar
l’Oblast de Tioumen
l’Ingoushetie
La Crimée
l’Oblast de Kalouga
En 2020, quelles sont les régions qui ont connu le principal reflux migratoire intérieur.
La Tchoukotka
l’Oblast de Magadan
La république des Komi
L’Oblast de Mourmansk
Le Birobidjan
L’Ossétie du nord
Le Kraï de Khabarovsk
L’Oblast de Tomsk
L’Oblast d’Omsk
Malheureusement, ces dynamiques accentuent la concentration de populations dans la partie occidentale, dans le sud et autour et dans les deux capitales tandis que l’Est et le nord est, et donc l’est de l’Oural, se vide, malgré les zones énergétiques riches du grand est, surtout bien sur pour des raisons geo-climatiques.
Sur la période de 2018 / 2020 quelles sont les régions qui ont en %age connu la plus forte hausse de population ? – Sébastopol – République d’Ingouchie – Région de Léningrad – République tchétchène – Région de Tioumen – Région de Moscou – République de Touva – Région de Kaliningrad – République du Daghestan – République d’Adyguée
Aujourd’hui en Russie les zones les plus denses sont : – Moscou : 4.945,5 habitants / km² – Saint-Pétersbourg : 3.847,5 habitants / km² – Sébastopol : 520,1 habitants / km² – La région de Moscou : 173,5 habitants / km² – L’Ingoushetie : 162,4 habitants / km² – La Tchétchénie : 91,5 habitants / km² – L’Ossétie du nord L 87,2 habitants / km² – Le Kraï de Krasnodar : 75,2 habitants / km² – La Crimée : 73,3 habitants / km²
Aujourd’hui en Russie les zones les moins denses sont : – La Tchoukotka : 0,07 habitants / km² – La nénétsie : 0,15 habitants / km² – L’Oblast de Magadan : 0,30 habitants / km² – La Iakoutie : 0,32 habitants / km² – Le Kraï de Kamtchatka : 0,67 habitants / km² – La Iamalie : 0,71 habitants / km² – Le Kraï de Krasnoiarsk : 1,21 habitants / km² – Le Kraï de Khabarovsk : 1,67 habitants / km² – Tiva : 1,94 habitants / km² – Komi : 1,97 habitants / km²
Dans les trois dernières années quelle est l’évolution de la population des villes ?
Les villes qui ont vu le plus de croissance démographique sont : – Krasnodar – Ekaterinbourg – Moscou – Kazan – Rostov sur le don – Saint-Pétersbourg
Les villes qui ont vu le moins de croissance démographique sont : – Omsk – Samara – Tcheliabinsk – Volgograd – Nijni-Novgorod – Perm
Sur 2020, quelle est la tendance ?
Krasnodar et Iekaterinbourg sont en tête des croissances démographiques.
Les villes qui ont perdu en %ge le plus de population en 2020 sont – Omsk – Samara – Tcheliabinsk – Voronej – Nijni-Novgorod – Perm