Réponse à STRATFOR / Response to STRATFOR

By Sharon Tennison The latest from Stratfor on Afghanistan is a lengthy article laying out some pretty dire scenarios with this as ending paragraph: A little more than a year ago, Adm. Mike Mullen, chairman of the Joint Chiefs of Staff, told the House Armed Services Committee, “In Afghanistan, we do what we can. In Iraq, we do what we must.” That statement describes a clear gap in priorities for the United States in fighting these two wars. Now, with the spotlight on Afghanistan, the Obama administration will have to decide just how much it is willing to commit to a war in a country that has a historical record of outlasting foreign occupiers. Afghanistan may be a pressing issue for the United States, but it is also competing with a larger and arguably more strategic threat that will impact U.S. national security beyond the life of the U.S.-jihadist war – the Russian resurgence.” My response to George Friedman, CEO of Stratfor: By Sharon Tennison George, is it out of your realm of possibility that Russia is not the enemy you project? Of course, Russia will arm to the teeth as long as you and the US military project “enemy” on them. Certainly you play into Russia’s worst fears and paranoia – while you create a self-fulfilling prophecy through your assumptions. Russia’s current leaders, excluding a small minority of hard liners, want nothing more than to rebuild their economy, provide decently for their people and to be respected in the world. Par Sharon Tennison La dernière brève de STRATFOR sur l’Afghanistan est un long article définissant certains scénarios surprenants, et affirmant dans le dernier paragraphe : Il y a un peu plus d’un an, Mike Mullen affirmait que : “en Afghanistan nous faisons que ce l’on veut, en Irak nous faisons ce que l’on doit”. Cette affirmation décrit très clairement le gap existant pour l’administration US entre ces deux guerres. Aujourd’hui, avec l’accent mis sur l’Afghanistan, l’administration Obama va devoir décider comment mener une guerre dans un pays qui détient le record historique de résistance et d’expulsion des envahisseurs. L’Afghanistan est en effet un défi pressant pour les états-unis mais représente également une autre menace stratégique plus importante et qui va considérablement peser sur la sécurité Américaine (au delà de la guerre contre les Jihadistes) : la résurgence Russe.”  

Ma réponse à Georges Friedman, CEO du site Stratfor : Georges, pensez vous dans le domaine du possible que la Russie ne soit pas l’ennemi que vous pensez qu’elle est ? Bien sur que la Russie va s’armer jusqu’au dent aussi longtemps que la doctrine militaire Américaine les définit comme des “ennemis”. Bien sur vous jouez sur les pires craintes et paranoïas Russe, tout en créant votre propre prophétie, qui se réalise va vos propres hypothèses ! La grande majorité des dirigeants Russes aujourd’hui, à part un petit groupe prônant une ligne dure, ne souhaite rien de plus que reconstruire leur économie, donner un niveau de vie déçent à leur peuple et être respecté dans le monde.

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