Атака на Париж – один из крупнейших терактов в Европе за последние 10 лет

Безымянный

 

Александр Латса, французский политолог: “Все начинают понимать, что надо обязательно, очень быстро найти решение конфликта в Сирии, потому что если [не решить], поток беженцев продолжится, и среди этих людей наверняка будут находиться другие террористы”.

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L’échec des courants libéraux et nationalistes en Russie

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La journée de l’Unité russe, le 4 novembre dernier, aura permis de prendre conscience d’une forte évolution sur le plan politique intérieur en Russie.

Au cours des années 90, un courant politique nouveau a péniblement émergé de l’eltsinisme. Il eut, il faut le reconnaître, beaucoup de mal à faire sa place entre un parti libéral démocrate (LDPR) ultranationaliste panslave, qui était le premier parti de Russie après les élections législatives de 1993, et la puissance du parti communiste russe (KPRF), premier parti de la fédération en 1995.

Au cours de cette période, de nombreux groupuscules de toutes les couleurs traduisent la vitalité d’une vie politique russe qui se cherche, tandis qu’émergent en plus des courants précités relativement trois grandes tendances politiques que l’on peut qualifier de: ultranationaliste, libérale pro-occidentale et d’extrême gauche radicale.Les courants libéraux pro-occidentaux ne cesseront de voir leur poids diminuer au cours des deux décennies qui suivirent, une partie étant absorbée par Russie unie et l’autre sortant du champ parlementaire, tandis que l’extrême gauche radicale n’arrivera pas à percer, l’espace de gauche étant très largement et majoritairement occupé par le puissant parti communiste tant sur le plan politique qu’idéologique. Continue reading

Guerre en Syrie: énergie et route de la soie

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Il y a deux ans, j’écrivais un article exposant et synthétisant une théorie qui semble de plus en plus se répandre et qui plonge les origines du conflit syrien dans un conflit opposant des projets énergétiques concurrents, en l’espèce un projet irano-irako-syrien et un projet Qataro-saoudo-turc.

Il y a deux ans, j’écrivais un article exposant et synthétisant une théorie qui semble de plus en plus se répandre et qui plonge les origines du conflit syrien dans un conflit opposant des projets énergétiques concurrents, en l’espèce un projet irano-irako-syrien et un projet Qataro-saoudo-turc qui aurait pu permettre de raviver le projet occidental Nabucco, destiné à émanciper l’Europe du gaz russe et empêcher la construction du projet russe South Stream.

On sait ce qu’il est advenu de ces terribles luttes énergétiques entre l’Amérique et la Russie par Europe et Turquie interposées.Les pressions américaines ont permis à ce que les Russes ne se voient contraints d’annuler le projet South Stream et de le remplacer par au sud le Turkish Stream et au nord par une augmentation des volumes du North Stream pour le plus grand bonheur de Berlin. Si Ankara devrait encore avoir la possibilité de fournir l’Europe en gaz russe, elle semble par contre avoir définitivement perdu son rêve d’acheminer du gaz qatari vers l’Europe par le territoire syrien puisque l’entrée en guerre de la Russie en Syrie ne devant en effet pas permettre un effondrement du régime aussi rapide que les diplomaties hostiles à Damas, en premier lieu les Turcs, ne l’avaient envisagé.

Comme on peut le voir sur ces cartes le projet de gazoduc qataro-saoudo-turc devait traverser le centre de la Syrie (soit la zone de Palmyre occupée par Daech) pour finir à passer au nord d’Alep, de façon surprenante et bien évidemment pas hasardeuse au cœur de la zone tampon qu’Ankara souhaiterait établir.

Mais la potentielle chute du régime syrien, qu’analystes et journalistes ne cessent de nous décrire comme le scénario du pire pour Moscou, semble poser un autre problème tout aussi important à une autre puissance d’envergure: la Chine.

La déstabilisation régionale en Libye mais aussi en Irak a considérablement porté atteinte aux intérêts chinois.Pékin consommait autour de 50% de l’énergie irakienne en 2013 et ces chiffres étaient censés augmenter au cours des prochaines années. En Libye, la Chine avait également de nombreux intérêts et procédé a de nombreux investissement pour avoir accès à la manne pétrolière du pays. La chute de Kadhafi a également porté un coup à Pékin.

La Chine voit en effet ses sources en énergie se faire peu à peu détruire par la politique occidentale dans la région et on peut imaginer que Pékin entend désormais porter une attention particulière au sort de Damas tant pour des raisons politiques qu’économiques.

Pékin entend en effet redonner vie à un gigantesque projet de diplomatie économique: le rétablissement de la route de la soie, initiée dès 1996 par les autorités chinoises.Aujourd’hui, différents tronçons sont envisagés, tant terrestres que maritimes. Le nœud méditerranéen est fondamental pour permettre une connexion entre le sud de l’Eurasie et l’Océan Indien vers l’Europe. A ce titre tant les ports turcs que libanais ou syriens sont jugés par Pékin comme fondamentaux et comme l’explique parfaitement la brillante Christina Lin: «Sans Damas, il n’y a pas de cohésion globale pour le projet chinois de route de la soie ».

Alors que le projet de Califat semble interférer avec le projet de route de la soie, est-ce que Pékin pourrait, dans un avenir proche, estimer qu’il est de son devoir de sécuriser et stabiliser les zones traversées par la route de la soie, comme elle le fait en Asie centrale ou dans le golfe d’Aden contre la piraterie globale?

 

Евросоюзу предрекают распад и гибель шенгена

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Катастрофическая ситуация с беженцами может привести к возврату пограничного контроля в шенгенской зоне, коллапсу Евросоюза и даже к войне. Такое мнение высказал глава МИД Люксембурга Жан Ассельборн. Корень зла политик видит в лженационализме, господствующем в ряде стран ЕС, которые пренебрегают принципом солидарности.

«Европейский союз может распасться, – предупредил Ассельборн в понедельник в интервью немецкому агентству DPA. – Это может произойти чрезвычайно быстро, если изоляция, а не солидарность – как внутренняя, так и внешняя – станет нормой». По словам министра, «если мы не выработаем европейского ответа на миграционный кризис, если все больше и больше стран будут считать, что могут найти решение только на национальном уровне, то шенген погиб».

Критические замечания главы МИД Люксембурга были явно адресованы членам ЕС, которые пытаются помешать проходу просителей убежища по балканскому пути – основному маршруту проникновения мигрантов в Евросоюз. «Если доступ в Швецию и Германию будет блокирован, даже не знаю, что произойдет на Балканах. Думаю, ситуация уже крайне, крайне критическая», – сказал Ассельборн. Он негативно отозвался о тех, кто использует страх людей перед мигрантами в популистских целях и тем самым разрушает ЕС. Эти политики не усвоили ценностей Евросоюза, лежащих не только в материальной плоскости. «Скрепы, которые удерживают нас вместе, – это культура общечеловеческих ценностей. И этот лженационализм может привести к реальной войне», – считает Ассельборн.

По сути, глава МИД Люксембурга, председательствующего в ЕС в текущем полугодии, послал тревожный сигнал от имени всего руководства Евросоюза по поводу политики Венгрии, Хорватии и Словении. Они требуют от Брюсселя срочной помощи и говорят о собственной обеспокоенности буквально теми же словами. Так, Миро Церар, премьер-министр Словении, заявил: «Если не принять немедленных и конкретных мер в ближайшие дни и недели, думаю, весь ЕС начнет рушиться».

Французский политолог Александр Латса поделился с «НГ» своим мнением. «Миграционный кризис стал для ЕС потрясением такого масштаба, которого не ожидал никто. Число прибывших за первые девять месяцев этого года мигрантов оценивается в 800 тыс. – 1 млн человек, в то время как до 2018 года ЕС готовится принять от 3 до 5 млн. То есть основная миграционная волна еще не пришла. Это кризис управления европейским пространством. Он отражает слабость системы, ее неспособность справиться с современными вызовами и отсутствие элит, готовых держать удар. Европа стоит перед выбором – или системные реформы, или исчезновение как политической структуры в том виде, в каком мы ее знаем, и именно последний сценарий сегодня кажется наиболее вероятным».

Во второй половине дня Ассельборн в Брюсселе выступил в роли председателя на экстренной встрече министров иностранных дел и юстиции ЕС, где обсуждалось распределение просителей убежища из Греции, Италии и Венгрии между другими странами-членами. Ранее было согласовано перемещение 160 тыс. лиц, однако пока удалось создать 2 тыс. мест приема, а реально принять всего 130 человек.

Люксембург

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Riyad, Doha et Ankara face à la nouvelle donne syrienne

imagesDès le début de la guerre de Syrie en 2011, un accord tacite a été mis en place entre les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne avec la Turquie, l’Arabie saoudite et le Qatar.

Pensant que la chute d’Assad n’était qu’une affaire de mois, Paris et les chancelleries occidentales ont, avec beaucoup de maladresse et par un cruel défaut de stratégie, sous-estimé les conséquences de la prise en main idéologique et politique des groupes d’opposition sur le terrain.Le plan initial prévoyait sans aucun doute que le Conseil national syrien prenne le pouvoir et que d’une certaine façon les mouvances radicales ne soient éliminées après avoir fait le “sale boulot”. Le Qatar envisageait sans doute que les frères musulmans ne prennent le pouvoir au sein de ce CNS, accompagnant ainsi la dynamique freremusulmanisante des printemps syriens.

A l’époque, Riyad s’inquiétait de cette dynamique qui aurait pu constituer une forme de modèle et de réfèrent pour nombre de peuples musulmans, sorte d’alternative à l’Islam proposé et promu par Riyad.Pourtant, le plan de renversement d’Assad n’a pas fonctionné comme prévu. Le soutien de Téhéran et Damas s’est en outre avéré décisif pour permettre à l’Etat syrien de survivre. Un Etat syrien qui s’est montré plus résistant que prévu tant sur le plan de la communication intérieure que dans le maintien de la chaîne de fonctionnement de l’armée. Continue reading

Guerre en Syrie: le double jeu turc va-t-il réveiller la Chine ?

imagesBeaucoup de journalistes ont soulevé le fait que lors des deux premières semaines de frappes russes en Syrie, un grand nombre de ces frappes se sont concentrées sur la province d’Idlib au sein de laquelle Daech ne serait pas présent.

Les Russes ont néanmoins leurs raisons, qui sont évidentes, de frapper cette zone. Non seulement pour desserrer l’étau djihadiste qui se rapprochait du cœur alaouite côtier, mais aussi car nombre de groupes de cette zone connaissent des concentrations de minorités issues de la zone postsoviétique, telles que par exemple Katibat Al Tawhid Wal Jihad, ou encore Jaish Al Muhajireen Wal Ansar, dont les rangs comptent de nombreux combattants centrasiatiques ou tchétchènes.Lors des violents combats qui à la fin du printemps dernier ont vu la chute d’Idlib et de la présence loyaliste dans la région, de nombreux observateurs de terrain ont également témoigné de la présence au sein des groupes rebelles de forces spéciales turques ou encore de combattantsturcophones tandis que la presse turque dénonçait des livraisons non officielles d’armes et de munitions à divers groupes rebelles, un scandale qui a été du reste parfaitement étouffé au royaume d’Erdogan.

On aurait du reste apprécié que les journalistes français s’y intéressent en profondeur, pour démontrer ce que les journalistes syriens ne cessent de répéter, à savoir que c’est bien la seconde puissance de l’Otan qui alimente de nombreux groupes rebelles radicaux syriens en armes, hommes et soutiens logistiques ou encore médicaux. Continue reading

Πόλεμος στην Συρία: θα αφυπνίσει την Κίνα το διπλή παιχνίδι της Τουρκίας;

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Πολλοί δημοσιογράφοι έθεσαν το γεγονός ότι κατά τη διάρκεια των δύο πρώτων εβδομάδων των ρωσικών επιδρομών στη Συρία, πολλές από αυτές τις επιδρομές επικεντρώθηκαν στην επαρχία της Ιντλίμπ  μέσα στην οποία δεν υπάρχει παρουσία του ΙΚ.
Οι Ρώσοι όμως έχουν τους λόγους τους, οι οποίοι είναι προφανείς, για να χτυπήσουν αυτή την περιοχή. Όχι μόνο για να χαλαρώσει η τζιχαντιστική μέγγενη που προσέγγισε την παράκτια αλαουϊτική καρδιά, αλλά επίσης επειδή πολλές ομάδες σε αυτή τη ζώνη συγκεντρώνουν μειονότητες που προέρχονται από τη μετα-σοβιετική περιοχή, όπως για παράδειγμα η Katibat Al Tawhid Wal Jihad, ή ακόμη η Jaish Al Muhajireen Wal Ansar, των οποίων οι τάξεις περιλαμβάνουν πολλούς μαχητές από χώρες της Κεντρικής Ασίας ή Τσετσένους μαχητές.
Κατά τη διάρκεια των σκληρών μαχών οι οποίες στα τέλη της περασμένης άνοιξης έφεραν την πτώση της Ιντλίμπ και της παρουσίας των νομιμοφρόνων στην περιοχή, πολλοί παρατηρητές του εδάφους ανέφεραν επίσης την παρουσία ειδικών τουρκικών δυνάμεων μέσα στις ομάδες των ανταρτών ή να ακόμη τουρκόφωνων μαχητών ενώ ο τουρκικός τύπος κατήγγειλε ανεπίσημες παραδόσεις όπλων και πυρομαχικών σε διάφορες ομάδες ανταρτών, ένα σκάνδαλο, το οποίο παραμένει καταπνιγμένο στο βασίλειο του Ερντογάν. Continue reading

Réflexions sur les fronts de Novorossia et de “NovoRoSyria”

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Alors que l’attention du monde entier était, il y a encore quelques mois, concentrée sur une petite bande de territoire à la frontière Ukrainienne qui porte le nom de Donbass, elle l’est désormais sur une autre bande de terre qui s’étend du nord d’Homs en Syrie jusqu’au sud d’Alep.

Tandis que le Mainstream médiatique hurlait aux loups et rivalisait de pronostics sur l’invasion immédiate et camouflée de l‘Ukraine par les troupes russes, la Russie mettait en place un dispositif militaire, en Syrie, que visiblement aucun pays occidental n’a détecté.

En quelques semaines, le Kremlin aura pris de cours toutes les chancelleries occidentales en agissant sur deux fronts avec des fréquences temporelles opposées.

Non seulement l’armée russe est sans doute moins que jamais présente en Ukraine de l’Est, mais il semble plus improbable que jamais que l’Ukraine ne retrouve un semblant d’unité politique avec la moitié du Donbass. Moscou a sans doute réussi à habilement faire pression sur les nouvelles autorités locales pour qu’elles ne repoussent pas les élections locales. En face, l’autorité de Kiev faiblit de façon proportionnelle, avec l’effondrement de l’économie ukrainienne. Alors que plus personne ne parle désormais d’une quelconque nouvelle offensive militaire, Moscou sait que le temps joue en sa faveur dans le dossier ukrainien.

En Syrie, c’est précisément l’inverse. L’affaiblissement du pouvoir central syrien s’est accéléré ces derniers mois, et le temps était compté pour pouvoir encore reprendre l’initiative sur le plan militaire et appuyer tactiquement l’armée syrienne dans sa gigantesque opération anti-terroriste contre la galaxie islamo-terroriste qui s’est en quatre ans emparée de 50% du territoire syrien. La rapidité de déploiement et de passage à l’action du dispositif militaire russe en Syrie traduit bien que Moscou sait que, dans ce dossier, le temps pourrait jouer contre lui si des armes antiaériennes tombaient dans les mains des opposants au régime.En prenant la main sur ces deux dossiers, Moscou se pose en partenaire inévitable pour la résolution de ces conflits régionaux, mais pas seulement.

Le Kremlin montre en premier lieu aux Européens que leurs intérêts réciproques sont plus communs qu’opposés, que ce soit pour la paix sur le continent ou pour la lutte contre le terrorisme international. Cette dernière passe, pour le Kremlin, par une lutte active à la source du mal contre les terroristes, et ce, alors que de nouvelles estimations indiquent que ce seraient désormais de 5.000 à 7.000 ressortissants de l’espace postsoviétique qui se trouveraient en Syrie au sein des divers groupes islamo-terroristes. Une politique finalement similaire à celle de la France qui depuis quelques semaines frappe les Français de Daech qui opèrent sur le territoire syrien.

Pour la France, ce “moment” serait une chance historique de s’extirper du bourbier idéologique dans lequel notre ministre des Affaires étrangères s’est enfoncé en réclamant obsessionnellement le départ d’el-Assad. Des réclamations au mépris du principe de réalité puisque Moscou et Téhéran semblent plus que jamais déterminés à régler le problème syrien, évitant par là même le renversement d’el-Assad qui était jusque-là envisagé par les ennemis de la Syrie.De Sébastopol à Damas, la politique étrangère russe a, au cours des 24 derniers mois, totalement bouleversé les fondements de l’organisation sécuritaire héritée du monde sous domination américaine et occidentale. Il est possible et plausible que nous soyons déjà rentrés dans un nouveau cycle historique de l’organisation des relations entre Etats.

Un nouvel ordre qui va justifier que soient totalement repensées les relations entre la Russie et les Etats européens afin de faire face aux nombreux défis communs qui nous attendent, qu’ils soient économiques, sécuritaires ou civilisationnels.Les dossiers ukrainiens et syriens, qui étaient des pièges tendus à la Russie et à l’alliance entre la Russie et l’Europe, auront peut-être, sur le long terme, des effets inverses et bénéfiques pour tout le continent.
A condition bien sûr qu’aucune puissance extérieure ne vienne empêcher ces saines dynamiques de se mettre en place.

Guerre en Syrie: le double jeu turc va-t-il réveiller la Chine ?

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Beaucoup de journalistes ont soulevé le fait que lors des deux premières semaines de frappes russes en Syrie, un grand nombre de ces frappes se sont concentrées sur la province d’Idlib au sein de laquelle Daech ne serait pas présent.

Les Russes ont néanmoins leurs raisons, qui sont évidentes, de frapper cette zone. Non seulement pour desserrer l’étau djihadiste qui se rapprochait du cœur alaouite côtier, mais aussi car nombre de groupes de cette zone connaissent des concentrations de minorités issues de la zone postsoviétique, telles que par exemple Katibat Al Tawhid Wal Jihad, ou encore Jaish Al Muhajireen Wal Ansar, dont les rangs comptent de nombreux combattants centrasiatiques ou tchétchènes.Lors des violents combats qui à la fin du printemps dernier ont vu la chute d’Idlib et de la présence loyaliste dans la région, de nombreux observateurs de terrain ont également témoigné de la présence au sein des groupes rebelles de forces spéciales turques ou encore de combattantsturcophones tandis que la presse turque dénonçait des livraisons non officielles d’armes et de munitions à divers groupes rebelles, un scandale qui a été du reste parfaitement étouffé au royaume d’Erdogan. Continue reading